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avril 2011

Passion de printemps

Je dois vous parler aujourd'hui d'une passion qui m'habite et qui paralyse en ce moment tous mes moments libres. C'est qu'à force de musique, on se demande où prendre ses hobbies. Je suis une fan finie du Canadien de Montréal. Et quand je dis finie, c'est finie dans le sens de presque pleurer quand Pacioretty s'est fait défoncer le visage par Zdeno Chara, c'est porter fièrement le chandail du CH lors de presque tous les matchs, c'est être prête à bondir de ma chaise à toute tentative de but, c'est hurler à en perdre haleine quand Canadien gagne... surtout en série.

Donner sa musique, innovation ou hérésie ?

Pour répondre à la menace du piratage, l’industrie de la musique s’est lancée dans une guerre psychologique contre les corsaires… Messages publicitaires touchants, dons de disques promotionnels, concept open disc et bien d’autres stratégies pour maintenir la vache à lait. Ces belles initiatives ont peut-être sauvé l’amour de l’objet, mais n’ont certes pas empêché les...

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Avant que d’être à vendre…

«Elle vivra de projets Qui ne feront qu'attendre La revoilà fragile Avant que d'être à vendre» Jacques Brel, Orly J'ai assisté hier après-midi à une conférence organisée par le festival Vue sur la relève. Le sujet : la gratuité comme moteur économique : pour ou contre ? En tant que fière étiquetée de la relève qui offre la possibilité à tout le monde de télécharger gratuitement mon album, je me suis jetée aux premières loges de ce débat autant social qu'intérieur. Si vous vous intéressez à la musique, vous n'êtes pas sans savoir que l'industrie musicale au Québec (et partout ailleurs) est en pleine révolution, résultat de l'avènement internet et téléchargements dits illégaux. Ça brasse la cage du gros argent...

Après la tempête, on se relève

Un peu de calme après tout le branle bas de combat; c'est ce que je suis allée chercher, emmitouflée au soleil, en couvrant une mauvaise grippe. Le retour à Montréal se veut saisissant, je me remet au travail et ce calme précaire fond en même temps que les dernières buttes de neige. Soupir. Ma grippe, elle, ne fond pas. Comme la garnotte sur laquelle on s'érode les genoux dans les ruelles... Eh non, chers lecteurs, je n'étais pas au Maroc : j'étais dans le nord. Simplement. Mais voici que les événements déboulent et ne se ressemblent pas. Entre deux entrevues, nous nous préparons pour notre spectacle de vendredi prochain au Gymnase dans le cadre du festival Vue sur la relève. 20h. 410 Rachel Est. Faut être là !

Poisson d’avril !

Je vous écris présentement de Marrakech, dans un petit boui-boui très bruyant, avant de poursuivre ce voyage impromptu. Coup de tête improbable, après avoir vendu tous les disques que nous avions fait imprimer (!!!), j'ai décidé de partir deux ans pour m'inspirer et composer un nouvel album.

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